Presse – Archive

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Vers un Observatoire de la santé des dirigeants de PME

Olivier TORRES* : "Je souhaite créer, très rapidement (en décembre 2009 ou janvier 2010), le premier Observatoire de la Santé des dirigeants de PME. Deux premiers partenariats ont été passés avec la CCI de Montpellier et la CCI de Lyon. Guy MATHIOLON, président de l'instance consulaire lyonnaise, sera d'ailleurs présent à Montpellier pour le séminaire de la CCI, et TPE - est tout outre. // n'y a pas de statistiques sur le sujet, très peu et la solitude ont des impacts négatifs sur la santé. Je sais en tant que PME-iste que le dirigeant cumule tous ces facteurs L'idée est de savoir comment vont les dirigeants de PME ll faut tout construire de A à Z L'Observatoire pourrait être localisé soit à Montpellier, soit à Lyon, soit à Paris et donner lieu à l'embauche de deux à trois assistants de recherche pour produire les premieres statistiques. Les deux premiers bassins de population étudies seront bien sûr le Montpelliérain et le Lyonnais. J'attends des propositions avantageuses de mise à disposition d'un local de la pan de collectivités locales. C'est une aventure de recherche extraordinaire qui doit associer aussi les instances syndicales, j'ai rencontre Laurence PARIZOT présidente du Medef, en juin dernier, Pierre MARTIN, de l'UPA, qui me suit, Contran LEJEUNE, du CJD national, qui me suit également, et je dois rencontrer prochainement Jean-François ROUBAUD, qui préside la CGPME. Mais ceci en toute indépendance : je ne veux aucun financement ou aide provenant des syndicats. La crédibilité de cet observatoire est à cette condition implicite."

 

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“Notre société n’est pas mature vis-à-vis de ses entrepreneurs”

Enseignant-chercheur à Montpellier 3 et à EM Lyon, Olivier Torrès brise le tabou entourant la souffrance du patron de PME contraint de licencier et le confronte au "responsable mais pas coupable” de la grande entreprise.

On annonce près d’un million de chômeurs supplémentaires en 2009 et vous nous parlez du traumatisme du licencieur… Serait-ce de la provocation ? Que les choses soient claires : la première soufrance, la plus profonde et la plus durable, est évidemment celle du licencié. Mais au risque de paraître iconoclaste, l’acte de licenciement pour un patron du CAC 40

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Le suicide patronal, un fait pas si divers

Pas une « une », pas un édito, pas un journal n’a manqué de relater les suicides des salariés du technocentre du Groupe Renault à Guyancourt. L’affaire a fait grand bruit. Et les médias ont eu raison de traiter ces drames comme de véritables faits de société, renvoyant à une réflexion de fond sur les conditions de travail dans les grands groupes, sur le stress exercé sur les

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FAUT-IL PLEURER SUR LA SOUFFRANCE DES PATRONS ?

La Gazette. En pleine crise, alors que les licenciements se multiplient, vous osez parler de souffrance patronale. C’est de l’inconscience ou de la provoc’ ?

Olivier Torrès. Ni l’un ni l’autre. Pour bien me faire comprendre, je veux rappeler au préalable que le premier traumatisé, c’est bien sûr le licencié. Mais il existe un effet secondaire dont personne ne dit rien, c’est le traumatisme du licencieur dans les petites entreprises. Quand vous connaissez chaque salarié, et souvent leur famille, que vous les virez en les regardant dans les yeux, vous n’en dormez pas la nuit. Au-delà de cet acte, fort heureusement ponctuel, le mal-être des petits patrons s’explique par la surcharge de travail (12 heures par jour en moyenne),

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La souffrance cachée des patrons

Les ouvriers sont désespérés par les licenciements, les cadres sont stressés, les jeunes sont inquiets pour leur insertion professionnelle, les DRH ont le blues… Mais qui parle des angoisses des patrons ? « Personne, tranche Olivier Torrès, chercheur à Montpellier III et spécialiste des PME. Le sujet est délaissé par les académi­ques et difficilement évoqué par les principaux intéressés. Il commence à peine à émerger au sein des associa­tions de patrons. ». Pourtant, alors que la CGPME avance le chiffre d’un patron sur cinq qui envi­sage de déposer son bilan, qui peut

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Le grand tabou de la souffrance des petits patrons

Il est venu avec son concept tout neuf, afin de le «tester» sur de vifs et «jeunes» dirigeants. Le professeur en gestion Olivier Torrès travaille sur ce qu'il appelle «l’inaudible souffrance patronale». Le lieu est bien choisi : le Centre des jeunes dirigeants (CJD), mouvement de patrons plutôt décontractés, vient de réunir pour son «campus» annuel 500 patrons dans un village de vacances près d’Arles. «Les médecins et sociologues spécialisés dans la souffrance au travail partent de l’idée qu’elle vient d’un rapport de domination: le patron étant le dominant, explique l’enseignant chercheur de l’université de Montpellier devant un parterre de patrons. Or les facteurs de mal-être » Le but d’Olivier Torrès : monter un observatoire de la santé des dirigeants de PME. Il va s’atteler à rencontrer toutes les organisations patronales à ce sujet… «La souffrance du patron de PME est invisible. Il n’existe aucune statistique puisque les chefs d’entreprise ont historiquement refusé de rentrer dans un système social de médecine du travail. Personne ne connaît leurs pathologies», il ne peut souffrir.

  Voici le premier reportage du complément d'enquete consacré au mal être des dirigeants de PME. ATTENTION : le fichier est trés lourd (environ 250Mo) Déconseillé aux connections lentes !!...

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Un chercheur pointe la souffrance des petits patrons

Olivier Torrès a érigé son érudition des petites entreprises en art. Ce chercheur à l’Université de Montpellier et vice-président de l’Association internationale de recherche en PME n’est pas de ces thésards empoussiérés. Ses rires sont sincères, sa verve palpable. Il parle avec les mains. Ses mains parlent. Probablement, entre autres, parce qu’il a passé sa jeunesse derrière le comptoir d’un bar incontournable de Sète, le Tabary’s. Dans les troquets de l’île Singulière, on y apprend à causer avec tout le monde. C’est ce que cet enfant de Paul-Valéry fait à l’envi,